Capitolo 9 :: la signature

Pubblicato: 14-08-07 - Ultimo aggiornamento: 15-08-07

Commenti: Coucou voici la suite (enfin) avec quelques pistes pour "jack l'éventreur". Merci pour toutes vos reviews. Ah oui j'allais oublier, la gifle vous a marqué.... Elle aura quelques conséquences dans un prochain chapitre... mais surprise PS Jimbo je ne trouve pas qu'il y ait tant de fautes d'orthographes, mais promis je vais bien tout relire...

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Il était déjà midi, et pas un bruit dans l'appartement. City hunter faisait la grasse matinée, ce qui est en soi quelque chose d'exceptionnel. Cependant, il ne fallait pas oublier l'horloge interne : l'estomac de Ryô, lui, savait qu'il est midi, et ne tarda pas à se manifester. Avec un grognement, Ryô décida de se lever. Il passa devant la chambre de Kaori, et il fut surpris de la trouver encore dans son lit. Il l'observa en train de dormir, puis son sourire s'effaça. Il ressembla alors à un gamin de cinq ans qui va bientôt faire une bêtise. Il compta jusqu'à 3, puis sauta sur le lit de Kaori. La jeune femme se réveilla en sursaut, et regarda d'un oeil mauvais son partenaire. Elle le vit en train de rapetisser, par peur de se prendre une bonne petite massue. Elle en rit, et décida de lui balancer un coussin. Et là commença une belle bataille d'oreillers qui permit de diminuer la tension ambiante. Bien que Ryô avait un avantage certain, Kaori réussit à le surprendre, et il tomba sur le lit qui craqua un grand coup, en entrainant la jeune femme qui tomba sur son torse. Les pieds du lits se cassèrent, et le bois de lit avait souffert, mais les deux partenaires rièrent de bon coeur. Puis vint un silence, où les deux jeunes gens se regardèrent avec désir et timidité. Finalement leurs lèvres allaient se toucher, quand un bruit sourd résonna, l'estomac de Ryô se manifesta à nouveau. Kaori se leva, et aida Ryô à faire pareil, elle lui dit : tu me dois un lit...  

Ryô : je te donnerai pas que cela. Il eut le droit à Kaori version coquelicot... Cet aveu spontané fut tout de même accompagné : Femme va faire à manger.  

Kaori le regarda d'un oeil noir : très bien, alors va chasser, et ramène moi la pitance.  

- Oh non maîtresse j'ai trop faim, je ne peux rien faire le ventre vide.  

Kaori se décida à préparer à manger, parce qu'elle aussi avait faim. Ryô aida sa partenaire dans la cuisine, pour que se soit plus rapide. Une fois le repas terminé, et la peau du ventre bien tendu, Kaori prit une bonne douche pour aller encore et toujours répéter. Ryô ne dit pas un mot, mais il commençait à s'inquiéter il n'avait pas encore de piste sérieuse. Il décida de rendre visite à son inspectrice préférée pour obtenir les détails des autopsies, et pour voir si elle avançait dans l'enquête. Il l'appela pour lui donner rendez-vous dans le parc, au coin habituel. Une fois arrivé, il l'attendit pendant quelques minutes. Il la salua sobrement, ce qui surpris forcément Saeko : Boujour Saeko, alors quoi de nouveau?  

- Heu bonjour Ryô. Les différentes autopsies ont révélées que le meutrier était certainement le même, et qu'ils avaient des connaissances chirugicales poussées. Des organes ont été prélevé...  

- trafic d'organe? c'est la mode en ce moment....  

- malheureusement oui, car c'est très lucratif. Les corps ont été transportés, et déposés au hasard je pense. Par contre on ne sait pas où ce malade tuait ces femmes, mais il a des complices.  

- tu as des suspects?  

- non ça pourrait être un client d'un cabaret qui s'est prit une veste par une danseuse, et qui a décidé de se venger, ou même une danseuse qui élimine ses rivales....  

Ryô regarda les photos apportées par l'inspectrice. Il vit alors qu'au creux des poignets de chaque corps, il y avait une inscription faite au couteau. On pouvait voir un F et un X, un L qui entourait les deux autres lettres, et un petit K en dessus du L. Il montra sa découverte à Saeko qui dit : une signature?  

- oui je pense un artiste signe toujours ses oeuvres, et ça fonctionne avec les assassins.  

- qu'est ça veut dire? en désignant la signature  

- aucune idée, c'est peut-être des initiales...Dis moi Saeko, j'aimerai bien que tu me trouves aussi le dossier du patron, je le trouve louche....  

- contre 5 coups?  

- quoi? 3 et encore parce que j'ai pas le temps de négocier...  

- parfait je te l'ammène au plus tard demain. Prends bien soin de Kaori.  

Ryô aquiesça et se dirigea à l'appartement. Kaori devait avoir fini ses maudites répétitions, il pourrait alors lui parler de cette signature.  

Comme prévu, il trouva Kaori en train de faire les poussières. Elle ne s'arrête donc jamais, pensa-t-il. Sans se retourner, elle demanda à Ryô s'il avait les courses. Puis sans attendre la réponse, elle lui répondit : heureusement que je suis là, mon pauvre Ryô tu serais incapable de vivre tout seul... Devant l'absence de réponse elle se retourna, Ryô garda son visage sérieux : qu'est-ce qu'il y a?  

- tu as déjà vu ces lettres quelque part? en lui montrant les notes qu'il avait prise.  

- heu non, désolée ça me dit rien. F-X-L-K... C'est un nouveau code?  

- non c'est une sorte de signature qu'avait chaque victime.  

- ah... Vous avez une piste?  

- euh, nous essayons d'en avoir....  

- bah t'inquiètes pas, avec City Hunter, on le prendra sur le fait, et Saeko pourra le récupérer...  

Ryô ne savait pas quoi dire, il y avait tellement de confiance dans le regard de Kaori. Mais il devait s'avouer qu'elle avait dans le fond raison. Personne ne pouvait faire du mal à Kaori s'il était présent, il l'avait promis il la protégerait.  

Devant ce regard si sérieux, Kaori s'inquiéta : Ryô, ça ne va pas.  

Ryô lui lança un sourire puis la prit dans ses bras : oui, tu as raison rien ne t'arrivera lors de cette mission, je te le promet.  

Kaori se sentait bien dans ses bras, et elle posa sa tête contre le torse de l'homme qu'elle aimait. Mais l'horloge tournait, elle avait déjà été en retard cet après-midi, elle ne voulait pas l'être ce soir. Il était déjà 21h, elle devait vraiment y aller. Elle déposa un baiser sur la joue de Ryô, lui murmura à ce soir, prit ses affaires pour aller au cabaret.  

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